Carnet de voyages en Nouvelle-Zélande, Europe et Amérique du Sud

A propos de Globe-croqueuse

Globe-croqueuse. Ou Anna, tout simplement. La trentaine, actuellement parisienne, bretonne de naissance et haute-savoyarde d’adoption. Un prénom aux multiples racines, que seuls les Italiens savent prononcer correctement. Des études de langues, peut-être pour toucher de plus près mes rêves d’ailleurs. Des premières virées européennes, grâce notamment à deux Erasmus, au Pays de Galles puis à Rome. Européenne avant d’être Française, j’ai aujourd’hui réussi à allier ma passion du voyage et mes études dans mon travail, qui me permet de m’évader régulièrement.

Globe-croqueuse. L’origine de ce nom commence par un texto, reçu lors d’un court séjour à Chefchaouen, la ville bleue du Rif marocain. Ma mère souhaitait un bon voyage à « sa globe-croqueglobe-croqueuseuse ». Ce mot a été noté, et gardé précieusement dans un coin de carnet, avant d’être ressorti, tout chaud, pour la création de ce blog, deux ans plus tard.

Globe-croqueuse. Partie à 23 ans à l’autre bout du monde – « regarde mamie, je ne peux pas partir plus loin! » – mon master d’Etudes européennes et mon Working Holiday Visa en poche, j’ai beaucoup appris sur moi, et sur cette planète qui nous accueille, pendant mes neuf mois néo-zélandais et asiatiques. Depuis, de retour en France, et à Paris, je continue de retranscrire sur ce blog mes pérégrinations et mes impressions, au gré de mes voyages professionnels et personnels.

Globe-croqueuse. C’est la vie que je croque, me dirait ma mamie – encore elle – moi, la gourmande, toujours avide de nouvelles découvertes, qu’elles soient culturelles, culinaires, visuelles, historiques… Alors que mes premiers voyages n’avaient jamais été contés sur la toile, j’ai ouvert ce blog pour partager mon expérience et garder un lien avec mes proches. Aujourd’hui, après avoir tenté de l’arrêter pendant quelques mois, je continue pour le plaisir de poser des mots sur ces découvertes, ces rencontres et ces ambiances, tous ces petits bonheurs dont le voyage est fait. Et je rêve à mon prochain périple, car il paraît que le plus beau voyage c’est celui que l’on n’a pas encore fait…

Anna

 

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